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Filles et maths ?

Je viens de terminer mes bulletins pour ce trimestre (youpi). Je suis très contente de mes élèves de 5e et de 4e, qui ont vraiment bien progressé. Mais je me retrouve tout de même à écrire ceci en appréciation générale :

Classe motivée active, curieuse et efficace : les compétences se développent, les notions s’enrichissent. Juste un petit rappel : les mathématiques sont accessibles de la même façon pour les filles et pour les garçons, et avoir confiance en soi n’est pas de la vanité…

Zut à la fin.

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NOBELLES !

Grâce à Alice Ernoult, j’ai découvert les produits NOBELLES par la  Comédie des Ondes : des badges, des sacs et des t-shirts pour faire connaître et soutenir l’action action NOBELLES, cérémonie pour les oubliées du prix Nobel.

Depuis la création du prix Nobel en 1901, cette récompense a été attribuée à 602 hommes et 21 femmes dans les 3 disciplines scientifiques (physique, chimie et physiologie ou médecine), soit 3,5%.

Au-delà de ces chiffres, de nombreux exemples de femmes scientifiques dont les travaux sont restés dans l’ombre émaillent l’histoire des sciences. Ce phénomène porte même un nom : l’effet Matilda – théorisé par Margaret Rossiter – désigne le déni ou la minimisation récurrente et systémique de la contribution des femmes scientifiques à la recherche, dont le travail est souvent attribué à leurs collègues masculins.

Anne Rougée et Laureline Collavizza

NOBELLES, c’est une action, des spectacles, des objets qu’on peut encore commander pendant 5 jours. 5 jours…Ce n’est pas long, 5 jours. Peut-être faudrait-il le faire là maintenant, non ? Si, allez, j’y vais, moi.

Voilà.

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Vous reprendrez bien un peu de maths ?

Ecrire un livre, c’est tout un truc. Enfin pour moi, c’est vraiment important. Ecrire est une activité que j’adore et dont j’ai besoin. Les mathématiques, je les adore aussi, et j’en ai besoin. Et par-dessus tout cela, j’ai besoin de les transmettre, en donnant du plaisir, de la joie, de l’étonnement. Et puis j’aime tant les livres. Alors le jour où Elodie Chaudière, des éditions Retz, m’a appelée pour me proposer d’écrire un livre qui s’inscrive dans le même ton et la même énergie que ce blog, qui ne soit pas scolaire, qui s’adresse à toutes et tous, je n’ai pas hésité longtemps. J’étais dubitative sur l’intérêt pour autrui, je l’avoue. Mais l’occasion était trop belle pour la refuser.

Je me suis dit, en ce début d’été-là, oh, ce sera facile : je vais m’appuyer sur ce que j’ai déjà écrit, j’ai de la matière. C’est vrai, de la matière, j’en avais. Mais entre l’écriture d’un blog et celle d’un livre il y a une sorte de gouffre. Parfois, ça a été franchement dur, d’autant que mon quotidien est assez foisonnant déjà. Mais j’ai écrit, réfléchi, réécrit, sur les moments de vacances, les weekends quand j’avais une accalmie. Un article écrit dans le train, une idée glanée en classe jetée sur le papier pendant la récré, j’ai avancé. L’ensemble a pris forme, et l’équipe qui m’accompagnait a pris vaillamment en charge tout ce que je suis incapable de faire : transformer ma collection de textes en un ouvrage. Bernard Rousselot s’est mis à la mise en page et à la gestion des illustrations, avec un grand talent : ce livre lui doit vraiment beaucoup. Ma famille s’est attaquée à la relecture, les amis aussi. C’est intergénérationnel, au final, cette histoire. Et artisanal.

Ces temps-ci, je reçois quotidiennement des messages qui traduisent justement du plaisir à lire Vous reprendrez bien un peu de maths. Chacun d’eux me touche. J’étais très incertaine quant à la portée de cet ouvrage, parce qu’il est très … Mmmmh, comment expliquer cela ? Il me correspond complètement, dans tout ce que je peux avoir de naïf, d’enfantin, d’enthousiaste. Il est simple, il ne cherche pas à rendre expert de quoique ce soit, ni à me placer moi-même dans une quelconque expertise. Pour moi, c’est un condensé d’émerveillements, avec un dénominateur commun (bin oui, quand même) : des mathématiques. Pas toutes les mathématiques, évidemment. Les miennes, celles dont je vois qu’elles font briller les yeux des élèves, celles qui étonnent des adultes, celles qui font sourire les enseignants que je forme. En réalité, j’ai déjà employé le mot-clef plus tôt : il est artisanal.

Alors qu’y a-t-il, dans ce bouquin? Des tas de choses. Il est tout éparpillé, ne se prend pas au sérieux, ne vous prend pas pour des truffes, et s’adresse à tous, sans pré-requis. Vous aimez les maths ? C’est pour vous, vous allez vous faire plaisir. Vous n’aimez pas (encore) les maths ? C’est pour vous, vous allez peut-être envisager cet univers différemment. Si déjà vous acceptez qu’il me soit si joli, je crois que nous aurons fait un pas ensemble. J’aime bien, moi, faire des pas ensemble.

Les articles sont tous rapides à lire, mais ont chacun un objectif précis. Pour ne lasser personne, on passe d’un thème à un autre : des arts (c’est beauuuu), des curiosités (mais qu’est-ce que quoi ?), de la cuisine (miam !), des concepts (mmmmh…), de l’histoire (d’où ça vient ça ?), de la nature (les maths sont partout partout), des formes (légères comme des flocons, étourdissantes comme un chou-fleur) ou des mots (c’est joli, les mots. Il n’y a pas que les chiffres qui sont beaux). Et dans chacun, il y a du coeur, et des bulles pour que ça pétille.

Le livre ne s’adresse pas qu’à un public adulte : dès le collège ça marche, et pour beaucoup d’articles même avant. L’idéal serait de la partager entre (grands-)parents et enfants : la culture est pour toutes et tous, alors portons-là !

J’espère avoir répondu aux questions que je reçois en grand nombre, qui me demandent des précisions sur Vous reprendrez bien un peu de maths. Je pense que bon, là, c’est assez clair, ce qu’il vous reste à faire, c’est de reprendre un peu de maths, non ? Mais si, vous verrez, c’est carrément chouette, les maths.

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Des cigales et des maths

J’ai découvert hier le dispositif des Cigales, au travers d’un échange avec Olga Paris-Romaskevich. Elle décrit et réfléchit à ce dispositif dans un excellent article d’Image des maths.

Les Cigales, c’est une semaine mathématique et sportive au Centre International des Rencontres Mathématiques, à Marseille, pour des lycéennes de première générale, qui peuvent venir de toute la France. Elles y font des maths, de l’informatique, du sport, rencontrent des femmes de maths, et profitent de leurs soirées pour jouer, chanter, danser…

Les mathématiques sont une science profondément sociale et partagée, perméable à nos propres préjugés.

Je me suis posé la question de cette perméabilité dans le cadre des Cigales : peut-on partager notre amour des maths avec les filles sans leur transmettre notre sexisme ? 

Olga Paris-Romaskevich

L’article d’Olga Paris-Romaskevich est tout à fait passionnant, car elle y aborde les questions qu’elle aurait pu éluder : « et pourquoi pas des garçons, aussi ? » l’amène à évoquer le sentiment d’insécurité, d’une façon vraiment frappante ; sur la question des inégalités sociales (la plupart des participantes sont issues de classes sociales favorisées et/ou en lien avec les sciences) elle est aussi d’une franchise qui permet de réfléchir.

Je n’adhère pas à une vision élitiste de notre matière, nourrie par l’esprit de compétition et les restrictions budgétaires. Je pense que la pratique des mathématiques vivantes doit être véritablement accessible à tous et toutes, et pas seulement aux chercheuses et chercheurs. La vision élitiste des sciences exclut des personnes du monde entier, de façon systémique et violente, de la pratique des sciences. Pour combattre la violence produite par le système des institutions dont nous faisons partie, nous sommes dans l’obligation de repenser notre système-monde et accepter de ne pas nous placer dans son centre. Ce qui nécessitera, inévitablement, de repenser le fonctionnement de nos institutions.

Olga Paris-Romaskevich

Les écueils exposés dans l’article, pour mener à bien ce projet, sont intéressants : outre les soucis financiers et de disponibilité des animateurs, qu’on imagine sans peine, il y a aussi celle de la formation des encadrantes, qui elles-mêmes ne sont pas formées aux inégalités de genre et craignent de les reproduire, inconsciemment bien sûr. Si seulement toutes et tous acceptaient l’idée que chacun(e) d’entre nous peut être maladroit, même avec de « bonnes « intentions, ce serait tellement plus simple ! Ce que m’apporte vraiment cet article, grâce à sa grande sincérité, c’est de réfléchir autrement sur la question des dispositifs non mixtes, ce qui a priori me gêne. Là, je me dis « oui, mais… » et ce mais est à creuser.

Allez, un dernier extrait choisi, pour terminer. Mais s’il vous plaît, allez lire cet excellent article !

Ce genre de découvertes et prises de conscience (et de confiance !) peuvent aussi se faire lors d’évènements mixtes — mais ce sont des exceptions à la règle. La société pousse les garçons à intervenir, et les filles à se taire. La monopolisation de la parole masculine amène à une monopolisation de la pensée. Les filles laissent la place, en gardant leurs pensées pour elles. Cela demande un vrai effort aux garçons de se taire, et aux filles de s’exprimer.

Olga Paris-Romaskevich
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La science taille XX elles

Une exposition le long des grilles d’un square à Rouen a attiré mon attention : l’exposition La science taille XX elles. A l’initiative de l’association Femmes & sciences, ces panneaux ont pour but de « mettre en lumière des femmes scientifiques qui font la science d’aujourd’hui et celles du passé, souvent remarquables mais toujours méconnues ».

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Comment prendre conscience des stéréotypes que les enseignants véhiculent sans le savoir ?

C’est le thème de la question d’actualité des la commission école-collège.

Les intervenantes nous ont expliqué que les enseignants se construisent, malgré eux bien sûr, des stéréotypes dans les trente premières secondes de l’année scolaire. Ces stéréotypes peuvent se répercuter sur la façon de s’adresser aux élèves, sur le vocabulaire employé, etc., et en conséquence sur les performances des élèves, sur la vie de la classe. Les manuels renforcent trop souvent les stéréotypes.

Les stéréotypes ne se construisent pas seulement en classe : des études montrent que dans les familles, lorsqu’un enfant pose une question, les garçons reçoivent des réponses plus explicatives, sur l’ingéniérie, et les filles reçoivent des réponses descriptives.

Jamais on ne peut contrôler les stéréotypes tout le temps. Mais lutter contre la tendance à s’y laisser aller, créer de la dissonance cognitive pour s’appuyer sur le sentiment de déception de soi, permet de progresser.

Certains gestes, quotidiens ou professionnels, permettent de changer les choses : ne pas avoir recours à des blagues sexistes ou ne pas y rire, ne pas faire des plans de classes filles-garçons alternés. J’aime beaucoup cette dernière idée : alterner filles et garçons, c’est renforcer la différence filles-garçons, c’est déjà signifier qu’on catégorise ainsi et que cela a une importance. Or cela ne devrait pas en avoir.

Les mathématiques renforcent en elles-mêmes le stéréotypes à cause de leur valeur sociale : quand un enfant est bon en mathématiques, il y a un effet de halo qui rend secondaires les autres disciplines. En associant maths et intelligence on renforce des biais de jugement. L’enfant bon en maths est considéré comme intelligent. La réputation scolaire se construit alors, puis le biais de confirmation prend le relai et rend encore plus difficile de changer les choses.

Comment progresser dans nos gestes professionnels ? Verbaliser pour faire prendre conscience et amener, avec bienveillance, à progresser ; développer l’empathie en faisant se mettre à la place des autres ; pointer qu’une fille qui réussit en maths (par exemple) n’est pas une exception. Il faudrait aussi des formations, avec des formateurs bien formés. Mais on n’en est pas encore là…

Une collègue a posé une question très intéressante : toutes les actions du type filles et… ne renforcent-elles pas aussi les stéréotypes, justement ? La réponse apportée a été qu’on n’est pas obligé de mettre tous ses oeufs dans le même panier : former des groupes de filles libère la parole et peut provoquer des déclics. C’est un peu triste d’en arriver là mais sans doute productif. D’un autre côté, il faut aussi organiser des moments d’échange, avec tout le monde, pour faire aussi changer les mentalités côté garçon, et les attitudes côté filles lorsqu’elles sont dans un groupe dans lequel il y a des garçons.

Notre boussole devrait être de nous demander comment de faire entendre de chaque élève, et non comment se faire entendre des filles, comment se faire entendre des garçons, etc. Et, comme je l’ai écrit hier, en catégorisant de façon binaire, on oublie toutes les personnes que ne se reconnaissent pas dans cette dichotomie. La lutte contre les discriminations ne mènerait-elle pas à trop vite se centrer sur filles-garçons ? C’est un problème d’équilibriste, tout cela. Les intervenantes ont évoqué la question : la catégorisation binaire en général (noir/blanc, homme/femme) est vraiment à réfléchir pour la faire battre en brèche.

Une infographie de 2017, par le ministère de l’Education nationale, avant que la mobilisation collective ne la fasse être modifiée

Je remercie les collègues qui ont échangé pour ces questions d’actualité. Une collègue qui a relaté l’histoire d’une de ses anciennes élèves a été étreinte par l’émotion, et je trouve ça absolument magnifique, ce souffle qui nous pousse pour nos élèves, qui avant tout sont des personnes. Pas des filles/garçons, pas des riches/pauvres, pas des sportifs/pas sportifs, sans questions d’origines… Des personnes. Et notre boulot est vraiment plus qu’un boulot parfois.

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Un café qui fait du bien :-)

Le Café pédagogique a eu la gentillesse de consacrer un article à mon ouvrage Vous reprendrez bien un peu de maths ? Comme d’habitude, j’avais livré mes pensées avec beaucoup de naturel, mais je suis contente, c’est bien moi.

Merci au Café pour cette lise en lumière !

Parce que les maths c’est la vie. Et que dans la vie il y a des maths ! On fait des maths pures en recherche, à l’école, en ingénierie. Mais moi qui aime profondément les maths dans ce qu’elles ont d’humain, j’en vois partout et j’ai du plaisir à les voir. Et c’est plus facile d’amener certaines personnes aux maths par ce qui est sensible et fantaisiste que directement par l’abstraction. Même si au final on les amène à l’abstraction.

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Programmation de sixième 2022-2023

Ce matin j’ai pompeusement déclaré à mon mari qu’aujourd’hui, je ne travaillerai pas. Et puis une collègue m’a écrit pour me poser une question sur mes cahiers de leçons et paf, une chose en traînant une autre, je me suis mise à cogiter comme j’aime.

Alors bon bref, voici ma programmation de sixième pour l’année prochaine. Dans la foulée je vais adapter mon sommaire du cahier de leçons.

La programmation pour l’année à venir est sensiblement la même que l’année dernière, avec quelques variations dans l’ordre des sujets abordés, quelques ajouts de problèmes, la fusion des fractions décimales et des décimaux car cela fait deux ans que je les sépare sur le papier mais qu’en classe nous enchaînons. La nouveauté, c’est le Festirobot qui m’amène à développer et insister sur les compétences d’algorithmique et de programmation. J’aurais bien renouvelé certains problèmes, mais je garde mon énergie pour la programmation de quatrième, qui va me demander de vrais ajustements lourds. Et puis en sixième, celle-ci fonctionne, alors je profite un peu.

Mon principe de base demeure identique aussi : en spiralant à s’en étourdir les neurones, entrer dans chaque séquence par une situation problème qui amène à un blocage, blocage que je peux faire surmonter en introduisant une notion et des savoir-faire nouveaux.

Voilà ce que cela donne :

Il me reste une chose à faire : la séquence Turing Tumble de la période 1.

Il faut aussi que je ritualise le recours à Sign’maths, et que je prépare des activités adaptées à une élève malvoyante, mais qui soient aussi pertinentes pour le reste de la classe.

Sinon, j’ai rangé mes dossiers, actualisé leur ordre, et je sais que tout tient sur l’année puisque cette année ça a tenu, avec une semaine de fermeture de chaque classe de sixième, plus une semaine de covid de mon côté.

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Tous ensemble à l’APMEP !

J’ai écrit un petit article sur le séminaire de l’APMEP : je suis revenue enchantée, et ce que j’ai appris est complètement dans la ligne de cette belle année au bureau et au comité de l’APMEP, et dans celle de toutes les magnifiques journées nationales auxquelles j’ai participé depuis 1995.

L’article est ici, et se conclut avec ce cri du coeur :

Alors si vous enseignez les mathématiques (si vous êtes professeur des écoles ou professeur de lycée professionnel, vous les enseignez tout autant que vos collègues d’enseignement secondaire général !), si vous étudiez pour devenir enseignant, rejoignez-nous. Vous contribuerez à un projet de société tout en continuant de vous former et de partager, au travers des événements tels que les journées régionales et nationales. Et si vous n’êtes pas dans ce cas, il vous reste à devenir prof de maths. Il semble qu’il y ait de la place, justement…