Aujourd’hui, parlons baleine.

Je me suis aperçue que je ne suis pas revenue ici sur l’album Combien mesure la baleine (d’Alison Limentani, chez Millepages) : lorsque je l’a travaillé, cet album, la formation académique des RMC approchait et je ne voulais pas la déflorer. Et puis ensuite, emportée dans le tourbillon de mes activités, j’ai oublié d’en faire des articles. Les premiers sont ici, là et là.

Or en ce moment, nous travaillons, avec mes collègues et amis Nourdin et Hélène, à la confection de mallettes pour chaque circonscription normande, remplie d’activités, de matériels qui donnent des appuis didactiques sûrs et clairs (enfin ça, c’est notre volonté). J’ai repris tout mon travail sur la baleine, et je l’ai rédigé ; c’est l’occasion de le publier ici. Mais comme c’est long, je vais en faire cinq articles en plus de celui-ci.

Le point fort de cette séquence, à mon sens, c’est de faire réfléchir au geste de mesurage, et surtout d’engager dans le triptyque manipuler-verbaliser-abstraire de façon vraiment efficace et construire. En tout cas, en l’animant en classe (dans 5 classes), c’est ce que j’en ai retenu.

Evidemment, les remarques sont les bienvenues ! Ainsi je pourrai améliorer nos contenus.