Le réveil sonne. C’est parti. Je cogite. La semaine qui s’achève a été terrible du point de vue densité de travail, mais je suis satisfaite, jusqu’ici. Il faut que je prépare avec soin mais en m’organisant le plus rigoureusement possible les suivantes, qui promettent également. Et je veux pouvoir consacrer du temps à ma famille ce week-end, même si je sais que je vais aussi devoir pas mal travailler.
Six heures, café.
Six heures trente, ma fille me réactive les procédures pour les entrelacs de Christian Mercat. Elle, elle entamé les entrelacs avec des murs incassables et des trous, mais je vais attendre deux ou trois ans, moi, pour ça. Je fais des entrelacs ce midi au club maths et ce n’est vraiment pas facile pour moi.
Six heures quarante-cinq, finalisation de l’évaluation de mercredi.
Sept heures, plastification des consignes pour les entrelacs du club maths.
Sept heures quinze, courses. Je vais avoir quatre stickers Star Wars, wouahou.
Sept heures trente, prise d’une témérité toute matinale, je me saisis de mon agenda pour affronter la réalité : suis-je dans la panade totale ou juste ça va être terrible mais ça va le faire ?
Et là, bim ! J’ai une semaine de plus que ce que je pensais, avant trois formations qui vont me demander pas mal de taf. Une semaine de plus ! Ça veut dire un week-end de plus !!!
Ahaaaaahaaaaaaa youpiiiii !
Bon c’est pas tout ça, faut y aller, j’ai cours.
Une réflexion au sujet de « Joie matinale »